Voici la démonstration magistrale d’Henri Lagarde dans son ouvrage « France-Allemagne : du chômage endémique à la prospérité retrouvée »
1/ Les cotisations sociales payées par les entreprises françaises représentent en moyenne 38,1% des salaires, contre seulement 16,6% en Allemagne.
2/ Un certain nombre de taxes ne sont pas assises sur le profit (résultat courant avant impôt) mais sur le foncier et la valeur ajoutée, ce qui enfonce les entreprises ont déjà du mal à dégager des profits.
3/ Le taux de base de l’impôt sur les sociétés est de 33,3% en France, contre 15% du résultat courant avant impôt en Allemagne.